Voilà des mois que Damotar n'avait pas foulé les rues de la capitale. Une éternité semblait s'être passé depuis son dernier voyage, mais les choses n'avait pas changé.
Bien qu'aujourd'hui son voyage ne soit pas dénué d'intérêt, il prit le temps de s'arrêter dans une tavernes afin de prendre connaissance des dernières nouvelle de l'empire. Rien de bien important, une guerre de moindre ampleur entre deux guildes, dont il avait déjà eu vent au sein de l'ambassade des Hordeux. Au détour de quelques conversation, il se rendit compte que l'intuition de Dame Esylia, qui avait commandé sont déplacement, était fondée. Suites à ces pérégrinations, il se rendit sur la place publique pour y accrocher un parchemin:
Cher concitoyens, suites à certains problèmes qui ont eu lieu ici, dans le monde d'Ancalimez, je pense qu'il est de notre devoir de codifier clairement et universellement les règles de conduites et d'honneur qu'un bon seigneur se doit d'appliquer. C'est pourquoi je propose l'organisation d'un concile au cours duquel seront débattu tous ce qui attrait au sujet, ou chaque seigneurs, quelque soit sa condition (chef de guilde, ambassadeur, simple soldat, sans guilde...) puisse venir débattre. Au terme de celui-ci serait résumé les principaux points qui en serait ressortit. Ce compte rendu serait mis à disposition de chaque seigneurs à la bibliothèque.
Tous ceci servirait à constituer un code de bonne conduite chevaleresque (libre au seigneurs de le suivre ou non) qui permettrais d'en finir une fois pour toute avec les déclaration fallacieuses de folie, ou au moins de permettre à quiconque de savoir comment se comporter pour ne provoquer d'incident diplomatique.
Bien amicalement, Esylia, de la main de Damotar.
Sa mission remplit, Damotar fila, au dos de son cheval, vers sa demeure, attenante au château de Parll.